Gradlul le puissant

Byrune avait depuis la mort de son grand frère, rejoint les paladins de Braav, afin de pouvoir défendre des innocents tels que son frère. Mais lorsque son petit frère mourrut du rhume, quelque chose se brisa en lui: lui, qui avait donné toute son énergie pour son dieu de la bonté, se retrouvait avec pour seule récompense la mort de son frère d'un idiot de rhume!

Il entendit alors des voix sombres, des voix appelant à la violence... Des voix du chaos et de la destruction, des paroles de Khornettoh...

C'est ainsi qu'il tourna le dos à ce dieu brave et gentil pour devenir un guerrier sanguinaire ne cherchant qu'une seule chose: poutrer le plus de trucs sur son chemin.

C'est alors que Gradlul naquit:ce fut un enchantement pour Byrune: un petit frère qu'il pourrait initier aux forces du mal! Maiis le cheminement de pensées de ce dernier ne fut pas celui de Byrune. Alors que Byrune s'amusait à détruire de diverses manières, Gradlul, qui suivait son grand frère, ne s'amusait que quand quelque chose brûlait. Byrune remarqua ce trait de caractère et se dit alors que son petit frère bien aimé pourrait devenir un adepte de la destruction, mais d'une autre manière: le feu, un élément si instable, pouvait être contrôlé par son petit frère qui le suivait comme son ombre. 

Il convainquit alors ses parents à l'envoyer à l'école de mages la plus proche, ce qu'il acceptèrent (non pas de bon cœur mais plutôt de bonne peur envers leur fils devenu fou) .

Gradlul, un peu perverti par les discours de son frère, se fit alors vite appeler Gradlul le puissant à l'école de magie, et devint une petite teigne aimant cramer quelques cheveux de ceux qui lui résistaient.

A sa sortie de l'académie, Gradlul voulait courir voir son frère et faire quelques bêtises avec. Mais, arrivé chez lui ses parents lui donnèrent une lettre: l'on pouvait-y lire que Byrune était parti à la recherche d'une relique, ce qui allait décupler ses pouvoirs et qu'alors, il s'en irait à Valtordu trouver son frère. Il lui conseillait alors de partir faire ses preuves et cramer quelques peaux vertes avant de le retrouver là bas.

*FIN BIO*

C'est ainsi que Gradlul se retrouva un jour à la taverne de Valtordu, tout feu tout flamme après avoir recu une lettre de la garde voulant lui proposer une quète. C'est alors qu'un ogre entra, beuglant qu'il voulait une bière dans sa belle et douce langue. Un nain, non loin de là, cria de le faire sortir alors que toute la clientèle s'enfuit en courant.une chose en entraînant une autre, Gradlul se rendit compte que un hobbit, le nain, l'ogre et un autre mage se trouvaient ici pour la quête. Se liant d'amitié avec l'ogre fougueux, et étant prêt à en découdre aussi, il se fit sortir de la taverne lors de l'explication de la quète. Une fois dehors, l'ogre voulut attaquer les gardes et Gradlul, furieux de s'être fait traiter de la sorte par un simple garde le suivit...

Deux minutes plus tard, les voila fuyant a travers bois, après avoir eu une grosse peur. (Galddher, poupin, Mal'ghar, Borg'hul)

Gradlul s'est alors juré de plus trop embêter les gardes, même s'il ne les aime pas. Quelques jours plus tard, il s'en retourne à valtordu et ce discrètement cette fois-ci: une quête attira son attention sur le tableau des quêtes ainsi que plusieurs autres personnes:un voleur, un semi orc, un pirate et un archer. Lors de cette quête, ils devaient récupérer le zlardouch d'un mec qui s’appelle firfrolain et que des bandits auraient volé. Arrivés là bas, le volleur tenta de voler le premier bandit a peine la discution débutée,, ce qui entraina un combat, la fuit de robert, et un archer qui est allé pisser pendant que le voleur, gradlul et le pirate devaient affronter les bandits. C'est alors que gradlul hurla de tout ses poumons d'arreter, et qu'ils venaient pour reprendre une vieille guitare qui appartient à firfrolain, un mec louche. Il s'avérait que ces bandits étaient les amis de firfrolain. Dans le calme et après la fuite du voleur, ils repartirent à valtordu avec la guitare et Gradlul se jura de traiter ses compagnons de niveau inférieurs comme des sous merdes. (Vanpelt,Robert, lost, darell)

La suite quand j'aurai dormi!